Quatrième de Couverture
Et cueille ces écueils
Où mes rimes se bousculent.
Ils remplissent ce recueil
Blanchis, au crépuscule
Cachées par l’orgueil,
Mes pensées effeuillées,
Jettent un coup d’œil,
À la mer esseulée
Et se couvrent les reflets
D’une éclipse noctambule
Sur cette eau troublée
Cataclysme incrédule
Chronique
L’homme face à l’immensité du temps. L’homme face à l’inéluctabilité de la mort. L’homme face à lui-même à travers la diversité des mots. Des rimes. Rimes croisées ou embrassées donnant une réalité au rêve. A l’irréel. A la face de la vie.
Ecueils de poésies reflète la magie des mots. Des mots qui chantent l’amertume. Le désespoir. La solitude. Des mots qui terrassent tendrement l’amour, le rêve. Des mots qui font voler en éclats l’absurdité de la vie. Une absurdité qui pousse cette vie à tisser des pièges merveilleux à ceux qui savent ouvrir leur cœur. Leur âme. A ceux qui savent poser avec délicatesse leurs sentiments sur l’autel de la rime.
Chaque poème est d’une belle force. Les mots, les rimes semblent s’écrire si facilement sur des sentiments qui s’offrent si difficilement. Chaque poème est un rêve plus ou moins avorté. Un rêve plus ou moins désiré. Un rêve si proche et si loin. Rêves présents, passés et à venir. Torture des mots. Torture des âmes. Torture des cœurs. Torture de l’homme.
Ecueils de poésies n’a d’écueils que le mot tant les vers s’enlacent, se tressent, se défont dans un chant silencieux, harmonieux. Des poèmes. Des vers qui disent l’amertume, qui questionnent la vie et ses aleas. Mots forts, merveilleusement douloureux. Tendrement cyniques, forts et fracassants. Des mots. Des vers. Des rimes. Pour la vie. Pour l’humain. Des écueils de poésies. Pour le plaisir
Note 18/20
9781976958311 Autoédition 122p.