Un jour comme un autre. Une nuit blanche. Comme d’habitude. Un mot, deux, dix, des centaines noircissent une page blanche. Rêves posés. Personnages libres et bien vivants. Ecrire un bonheur qui n’est pas de tout repos. Un malheur merveilleux. Une nuit blanche pour une page blanche. Qui s’obscurcira. Deuil de sa pureté perdue, ébranlée par des mots. Pour des maux. Ecrire! Quel calvaire plein de joie! Une bienheureuse malédiction.